30 juin 2007

Finalement, donnons une bonne tape sur l'épaule de Linux.

Il y a un an, j'installais Ubuntu 6.06 pour la première fois sur mon ordinateur. J'ai même parlé deux fois de mes premières expériences linuxiennes sur mon blog. Depuis, les choses ont légèrement (énormément) changés: j'ai essayé quelques 12 distributions différentes (Dans l'ordre du premier essai: Ubuntu, Fedora, Mepis, openSUSE, Mandriva, Sabayon, Zenwalk, Elive, Arch, Blag, Debian et Pardus) et j'utilise Windows que pour des utilisations spécifiques (exemple: coder en Microsoft Visual Basic .NET un site en Microsoft ASP.NET qui roule sur Microsoft IIS). Même si plusieurs installations ne m'ont durées que quelques heures (Ma première installation de Sabayon ne m'a duré que 3 heures!), elles m'ont toutes apprises de quoi sur mon ordinateur et ont définis ce que je recherche comme environnement de travail.

Par exemple, après avoir détesté Fedora 5 et avoir été forcé à l'installer pour deux de mes cours avec des résultats à peine plus concluants, je suis finalement un utilisateur de Fedora 7 heureux: cette version me semble plus stable, plus pratique, offre un Live CD et m'offre la majeure partie des logiciels qui m'intéresse sans me forcer à utiliser ce que je déteste.& Mais je dois dire que je suis sur Fedora 7 depuis seulement 3 semaines, autrement je suis très souvent sur Ubuntu (Quoique cette affirmation fut fausse de la fin janvier à la mi-mars) D'ailleurs, tous les distributions méritant un lien dans cet article m'offrent cet opportunitée (quoique cela soit discutable sur Ubuntu, par comparaison, Arch vient avec la base seulement alors qu'Ubuntu se plaint lors de la désinstallation de paquets non-essentiels).

Mais comme le monde du logiciel libre est immense, je vais utiliser une belle tradition de ce blogue: une série de petites pensées!!!


Jusqu'à la fin Avril, Mandriva fit partie des distributions que je recommandais. Or, la version 2007.1 m'a énormément déçu: elle est beaucoup plus boguée que la version précédente, les mises à jour ne sont pas claires et elle offre peu de nouveautés intéressantes.


Je n'ai pas encore osé essayé Slackware: le grand-père de toutes distributions. Elle me semble très intéressante, mais j'ai peur de sa difficulté due à la "non-résolution des dépendances de paquets". Je vais peût-être me risquer à la sortie de Slackware 12.


Le monde du logiciel libre est bizarre: alors que Novell (qui crée openSuse) annonçait une entente déraisonnable avec Microsoft, d'autres prenaient le code de Firefox (un logiciel libre pour les 4 personnes qui ne le savent pas) pour créer IceWeasel, plus libre mais pour des raisons ridicules. D'ailleurs, IceWeasel m'a semblé encore très incomplet lorsque "j'ai été forcé de" l'utiliser sous Debian.


Avant-dernièrement, j'aimerais souligner une dernière fois une distribution qui mérite d'être plus populaire: Arch. Elle est probablement ce que j'ai utilisé de plus compliqué, mais c'est un des système d'exploitation le plus flexible sans être zélé sur la personnalisation (comme Gentoo, la distribution à compiler soi-même (Le temps d'installation peut être atrocement long, donc allez voir trois films au cinéma, allez souper au restaurant, sortez dans un bar et allez dormir chez un ami, puis revenez chez vous pour apprendre que la compilation du bureau a échoué.))


Finalement, si vous avec un vieux Pentium 2 500 Megahertz qui traine, pourquoi vous n'essayez pas d'installer Zenwalk?

25 juin 2007

La gaugauche

Ceci est, jusqu'à nouvel ordre, mon dernier message politique sur ce blogue. Au début, je voulais parler de divers sujet et expérimenter avec mon style d'écriture mais, à la place, je me suis retrouvé à rester dans une zone de confort politique. Eh bien, les prochains messages seraient donc différents.

Lors des dernières élections, la peur de la gaugauche fût souvent mentionnée un peu partout. En tant que "gaugauchiste", je considère que la gaugauche est un mouvement politique apparu en 1950 et ne s'étant jamais adapté depuis. Il est pour la nationalisation des hôpitaux, de l'eau, de l'air et du bismuth. Il impose aux riches pour redistribuer aux pauvres, mais préfère rester dans son condo sur le plateau à deux pas d'un café branché. Il désire l'absence d'économie de toute forme tant que la société reste équilibré, mais n'est pas communiste.

Pendant ce temps, personne n'a parlé de la daudroite. La daudroite est un mouvement politique apparu en 1950 et ne s'est jamais adapté depuis. Il est pour la privatisation du sénat, du parlement, et du lieutenant-gouverneur. Il souhaite que les riches puissent s'enrichir le plus possible, mais n'est pas capable de payer l'hypothèque de son château en banlieue. Il désire une baisse de la dette ou des impôts, mais pas les deux en même temps, quand même!

Or, le Québécois moyen est plus proche du cencentre. Le cencentre n'est pas un mouvement politique, mais davantage un mouvement de masse en réaction à ces pôles d'attraction. Un jour, le cencentre va se joindre à la gaugauche, et le lendemain il sautera dans les bras de la daudroite. À ces trois groupes s'ajoutent les hauhautistes et les basbassistes, qui ne croient pas que la politique n'est qu'une ligne droite et que l'on doit trouver des solutions intelligentes en se basant sur ces deux pôles. Ces deux groupes ont probablement raison. Nous le saurons seulement lors de la formation du "Parti Modéré du Québec".

Ça y est, peut-être mon dernier message politique à vie. Si jamais vous les avez détestez, vous pourriez toujours extrapoler mon opinion sur les sujets d'actualité. Si vous les aimiez, vous pouvez toujours me parler politique en personne.

17 juin 2007

De retour?

Après deux mois sans nouvelles, je reviens bloguer! Cette fois-ci, j'aimerais élargir davantage les sujets traités: je prévois faire un dernier message sur la politique puis plus rien! Je vais essayer aussi d'expérimenter plus avec mon style d'écriture et de faire plus de longs messages et plus de longue séries de petits messages non-interreliés. En fait, j'aurai voulu revenir plus tôt, mais je ne sais pas par quel message commencer. C'est pour ça que je vous promet que, pendant les deux semaines qui suivent, je vais (essayer de) parler des sujets suivants:
  • La gaugauche (dernier message politique à vie?)
  • Linux, un an plus tard
  • Mon "manque de temps" récent pour m'intéresser à de nouveaux groupes
  • Super Paper Mario
  • Les déboires de Sonic le hérisson bleu
En espérant rester toujours aussi loutre!